L’histoire surprenante de Shaytan et Yahya Ibn Yousouf Az-Zimiy
Cheikh Rabi' Ibn Hadi Al Madkhali - الشيخ ربيع بن هادي ... # L’histoire surprenante de Shaytan et Yahya Ibn Yousouf Az Zimiy – Sheikh Rabi’
Cheikh Rabi' Ibn Hadi Al Madkhali - الشيخ ربيع بن هادي ... # L’histoire surprenante de Shaytan et Yahya Ibn Yousouf Az Zimiy – Sheikh Rabi’
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D’après ’Abd-ar-Rahmân ben Abi ’Amra, Abu Hurayra rapporta avoir entendu le Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم dire :
« II y avait parmi les Fils d’Israël trois hommes : un lépreux, un aveugle et un chauve… Décrétant de les éprouver, Allah leur envoya un ange.
Ce dernier vint dire au lépreux : “Qu’est-ce que tu aimes le plus ?
— Les gens me trouve répugnant, répondit le lépreux, je veux bien avoir un beau teint et une belle peau.”
Sur ce, l’ange lui essuya la peau et l’homme de voir [la lèpre] disparaître en cédant la place à un teint et une peau beaux.
“Quel est le bien que tu aimes le plus, interrogea de nouveau l’ange ?
— Les chameaux (ou : “des vaches” ; il y a doute de la part du râwi ; [de toute façon], du lépreux et du chauve, l’un dit “les chameaux” et l’autre dit “les vaches”). On lui donna une chamelle pleine de dix mois et l’ange lui dit : “Pour toi, elle sera bénie.”
D’après Muslim, selon Suhaïb, le Messager d’Allah (r) a dit : « Un roi qui vivait dans les temps anciens avait dans sa cour un sorcier, qui, devenu vieux, lui fit la requête : « j’ai pris de l’âge, alors trouve-moi un apprenti afin que je lui transmette mon expérience ! »
Le roi lui fit envoyer un jeune apprenti à qui il transmit son savoir. Sur le chemin qui le menait à son maitre, ce dernier croisait un moine chez qui il restait un moment. À chaque fois, il arrivait en retard chez le sorcier qui le frappait pour le punir. Las, il s’en plaignit à l’ascète qui lui suggéra une astuce :
Cheikh Sfiyour-Rahman Al-Mubarakpuri (rahimAllah)
Makkah est la terre sacrée, la terre la plus pivilégiée par Allah et la plus aimée par Son Messager , la Kiblah (la direction vers laquelle les fidèles s’orientent dans la prière) des Musulmans, le centre de leur affection et le lieu ou ils vont en pélérinage.
Allah l’a sanctifiée et lui a accordé respect et sainteté depuis le jour ou Il créa les cieux et la terre. A Makkah se trouve la Kaaba, la première Maison construite pour l’adoration d’Allah sur la terre.
Afin de qu’elle soit vénérée, Allah décréta le statut sacré d ela Maison devenue, ainsi, un sanctuaire ou règne la sécurité et un abri ou les gens trouvent protection et assurance contre les dangers. Ainsi, tout ce qui s’y trouve jouit de la protection divine même les arbres et les plantes qui ne doivent pas être arrachés ou déracinés: Les oiseaux qui y vivent ne doivent pas être dérangés.
Il décréta aussi que tous les actes de bien faits à Makkah seront plus récompensées que ceux faits ailleurs et que la prière à Makkah sera égale à cent mille prières faites ailleurs. Makkah a pu acquérir son statut religieux et divin grâce à la Maison sacrée qu’elle abrite.
lbn ’Abbâs dit : « La première fois que les femmes se servirent d’une traîne à leur robe fut quand la mère d’ismaël en fit usage pour effacer les traces de ses pas [lors de sa fuite] de Sarah. Par la suite, Abraham vint avec elle et son fils Ismaël, qui la tétait encore, et la laissa près de la Maison, à côté d’un grand arbre, en amont de Zamzam, à endroit dominant la Mosquée.
A cette époque-là, il n’y avait à La Mecque ni personne ni eau. Il les installa donc là et leur laissa un sac en cuir contenant des dattes et une outre contenant de l’eau puis il prit le chemin du retour.
La mère d’ismaël le voyant partir ainsi le suivit et lui dit : “0 Abraham ! où vas-tu et comment nous laisses-tu dans cette vallée qui n’abrite ni être humain ni rien ?” Cela, elle le lui dit plusieurs fois.
Et, comme il ne se retourna pas, elle l’interrogea : “Est-ce que c’est Allah qui t’a ordonné de faire cela ?
— Oui, répondit- il.
— Alors, dit-elle. II ne nous abandonnera pas.”
Après quoi, elle retourna sur ses pas. Abraham continua alors son chemin, et arrivé à un col où ils ne pouvaient le voir, il fit face à la Maison et prononça en ayant les mains levées des invocations en ces termes :
— … Notre Seigneur, j’ai fixé une partie de ma progéniture dans une dépression impropre aux cultures… jusqu’à : ils en seront reconnaissants. (Ibrahim, 37)
lbn ’Abbâs : Abu Sufyân ben Harb m’a informé que, dans la trêve qui était entre le Messager d’Allah et les Polythéistes de Quraych, il était allé avec quelques hommes de Quraych en tant que marchands.
« Le messager d’Héraclius nous a trouvés quelque part en Syrie, a dit Abu Sufyân, et on nous a emmenés, moi et mes compagnons, à Jérusalem. Alors on nous a introduits auprès de lui, et voilà qu’il est assis avec la cour de son royaume ; il était paré de sa couronne et il avait autour de lui les seigneurs des Byzantins.
“Demande-leur, a-t-il dit à son interprète, lequel d’entre eux est le plus proche de cet homme qui se prétend être prophète.
— Moi, ai-je répondu, je suis le plus proche de lui qu’eux.
— Quel est le lien de parenté entre vous deux ?
— C’est mon cousin paternel, ai-je répliqué. (Il est vrai qu’à ce moment-là, il n’y avait, à part moi, aucun des banû Abd-Manaf dans la caravane).
— Qu’on le fasse rapporcher !” ordonna Héraclius qui demanda aussi de rapprocher mes compagnons qu’on a placés derrière mon dos, juste près de mon épaule.
D’après Souhayb (), le Messager d’Allah (
) a dit :
« Jadis vivait un roi qui avait un sorcier. Quand le sorcier se sentit vieillir, il dit au roi :
« Me voilà maintenant àgé. Envoie-moi donc un jeune homme pour que je lui enseigne la magie ».
Il lui envoya un jeune homme. Sur son chemin vers le sorcier, le jeune homme rencontra un moine. Il s’assit auprès de lui et écouta ses paroles qui lui plurent. Il faisait ainsi chaque fois qu’il se rendait chez le sorcier.
Quand il arrivait auprès du sorcier, ce dernier le frappait pour son retard.
Il s’en plaignit au moine qui lui dit : « Quand tu as peur de la colère du sorcier, ma famille » et quand tu crains la colère du sorcier, dis-lui : « J’ai été retenu par ma famille » et quand tu crains la colère de la famille, dis-lui : « J’ai été retenu par le sorcier ».
Entre-temps, voilà qu’une bête énorme interdit le passage aux gens. Le jeune homme dit :
« Aujourd’hui je vais savoir qui du sorcier ou du moine à la plus grande valeur ». Il prit une pierre et dit : « Seigneur Dieu ! Si l’œuvre du moine T’est préférable à celle du sorcier, tue cette bête afin de permettre aux gens de passer ».